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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

Politique néo classique libérale par repartions Bichelonne

Politique néo classique libérale par repartions Bichelonne
Politique néo classique libérale par repartions Bichelonne
Politique néo classique libérale par repartions Bichelonne
Politique néo classique libérale par repartions Bichelonne

 

 

X crise et la synarchie de vichy

Ce que nous venons d'étudier provient de la compilation de plusieurs rapports sur la "Synarchie" desquels il a été dressé un document unique aussi homogène qu'il était permis de le réaliser avec des éléments disparates.
Il serait aussi difficile de dire que tout ce qui précède correspond à la stricte réalité que de prétendre le contraire.
L'analyse la plus sévère permet toutefois de conclure affirmativement sur la majorité des noms qui sont présentés comme signalant des "synarchistes". On peut être moins affirmatif quant aux profondes finalités politiques poursuivies par cette organisation.
Ce qu'il faut admettre, c'est que la Synarchie proprement dite existe puisque la matérialité et l'authenticité du Pacte est indéniable. Il est également vrai qu'il s'agit d'une société secrète, puisque cela est écrit dès les premières pages de son "Manifest". Il est enfin certain que ce Pacte ait pu être trouvé en possession ou chez tous ceux dont le nom est donné dans le rapport qui précède.
Si cela existe "effectivement" il est certain que c’est là le seul lien secret entre "synarchistes".
La "Synarchie" fait l’effet de jouer dans tout cela le rôle de la coquille du Bernard l’ermite, soit que cette formule doive servir des hommes politiques en mal de thèse réelle, et qui voudraient qu'on les prît au sérieux, surtout au dehors, soit qu'elle cache des intentions beaucoup plus concertées, telles que menées capitalistes, politiciennes, conspiratrices, anglophiles, ou même qu'elle serve d'épouvantail.
Le fait est qu'en France, avant et depuis la guerre, un certain nombre de pactes ont été distribués, pactes sur l'authenticité desquels aucun doute n'est permis.
Il s'en trouve, en circulation, une centaine d'exemplaires s'il n'en a pas été imprimé de copies.
Chaque ouvrage a été remis ou expédié anonymement à tel ou tel personnage, si bien que chacune des cent personnes pût se considérer, à juste titre, "synarchistes", sans bien savoir ce que cela voulait dire et souvent même sans avoir lu l'ouvrage.
Il est possible que le secret qui accompagnait les envois ait inspiré quelqu'un ou même ait servi à cacher ou à justifier une action déterminée. Mais de là à engendrer l'idée d'une règle commune, ce n'est pas possible, pour la simple raison que les détenteurs de Pacte synarchique ne se connaissent généralement pas entre eux.
Qu'une demi-douzaine soit effectivement parvenue à se connaître ou se reconnaître, c'est possible, mais plus on peut en douter.
Au pas où on y va, bientôt il n'y aura plus de secret autour des cent noms, du fait même qu'ils appartiennent à ce monde qui fait de la politique ou qui en fit, avec quelque succès, entre 1939 et 1940. Et l'expérience permet de dire que l’équipe qui est aujourd'hui au pouvoir dépend, dans beaucoup de cas, des noms qui se faisaient déjà connaître il y a quelques années.
Il aura suffi à quelqu'un, vaguement au courant de la règle du jeu, d’emmener tous ceux que l'on dénombre sur les marches du gouvernement et les baptiser synarchistes pour ne pas être loin de la vérité.
Le tout est de savoir si les Anglo-Saxons se sont emparés de la formule et s'ils ne s’en servent pas. Il serait si facile d’utiliser les rapports comme base anonyme et efficace d'un magistral chantage. Cela ne pourrait-il pas expliquer bien des choses ? Bien des choses qui ne peuvent s'expliquer autrement.

Paris, le 14 juin 1944.


 


 

5 - Centre d'organisation scientifique du travail (Cost), créé par décret du 25 novembre 1936, signé Blum et Spinasse et siégeant au ministère de l’Économie nationale.
6 - Centre d'études des problèmes humains (CEPH) 9, rue Lincoln. Membres : Coutrot, Focillon, Dr Carrel, Alexis, (collaborateur et ami du F. Lindbergh, lequel était premier vice-président de l'Association maçonnique internationale), Aldus Hexley, G. Guillaume, J. Branger, Gillouin, Dr Martiny, S. Milhaud, Sauvy, J. Ullmo, P. Rivoire.
7 - Institut de psychologie appliquée (Ipse), 1938, 9, rue Lincoln. Mêmes personnalités que ci-dessus, plus Docteur Arthus, Docteur Held et P. Planus.
Ces manifestations :
- Journées de l'Abbaye de Pontigny et les déjeuners hebdomadaires du restaurant Alexandre, rue des Cannettes, pendant la guerre où se réunissaient, avec Coutrot : Mme Forbin, Braibant, Branger, Couturaud, G. Guillaume, Mirles, Pelorson, Polin, Raybaud, Simon, Estebe, Heurteaux, Yvonne Michel, etc.
Ces groupements avaient pour but de réunir des intellectuels de milieux différents, de les étudier et de recruter, parmi eux, les membres du MSE.
L'examen des personnalités qui commanditent les mouvements synarchiques, pousse l'enquêteur à examiner si de puissants intérêts catholiques ne se dissimulent pas derrière l'équipe au pouvoir.
Coutrot fut le conseiller de Spinasse à partir de 1936 et fit échouer les essais d'organisation socialiste tentés par Spinasse et lui en proposa d'irréalisables.
Le travail de Coutrot était uniquement orienté vers la désagrégation ; Coutrot allait souvent à l'étranger et en 1938/39 notamment, en Angleterre et en Suède. Il finançait lui-même tous les groupements dont il était l'animateur et vivait sur un pied de 800.000 F par an refusant tous traitements de l'État.
Jean Coutrot, ancien élève d'École polytechnique, promotion 1913, industriel et ancien membre de l'Action français, en mai 1941 fut trouvé mort sur la voie publique, au bas de son domicile sans que l'on pût jamais dire s'il s'était suicidé par somnifère ou en se jetant par la fenêtre.
C'est également pour avoir voulu dévoiler les secrets de la "Synarchie»* que Mme Coutrot, ancienne secrétaire de son mari et très au courant de ses affaires, disparut mystérieusement après la mort de ce dernier puis fut retrouvée dans une maison de santé en Suisse.
Le secrétaire de Coutrot, Yves Moreau, mourut lui-même un mois après. Il avait succédé à Thealet.
Notons également qu’Henri Brule, beau-frère de Coutrot, mourut peu après.
On met encore au compte de la "Synarchie", avec toutes les apparences de preuves, l'attentat perpétré contre Laval et Déat le 27 août 1941 à Versailles, où ils venaient passer en revue le premier contingent de la LVF. Il est plus que certain qu'Eugène Deloncle, membre de la Synarchie, chef du Mouvement social révolutionnaire, ancien chef du CSAR, plus vulgairement appelée "Cagoule", a joué un rôle prépondérant dans la préparation de cet attentat.
Jean Coutrot était l'ex-dirigeant de la Maison Gaut et Blancan à Paris, où il avait des intérêts par alliance. Il avait abandonné son activité industrielle pour l'action administrative à la suite des mouvements de 1936 où il avait été placé par Léon Blum aux côtés de Vincent Auriol et de Spinasse comme soi-disant animateur du Comité de l'organisation scientifique.
Coutrot était flanqué de deux juifs, l'un Hollandais, nommé Hymans, l'autre d'origine allemande, se disant Autrichien et dont le nom réel est inconnu. Hymans était l'homme de la "Royal Deutsch", l'autre de Rothschild.
M. Eugène Deloncle, ancien polytechnicien, dont nous avons parlé plus haut, était partisan des méthodes qui coïncident exactement avec l'esprit du Mouvement synarchique d'empire. Une futile coïncidence rapproche les initiales du mouvement que dirigeait M. Deloncle avec celles du Mouvement synarchique : MSE ou CSR, d'un côté, et MSR et CSAR, de l’autre.

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La famille Le Roy Ladurie est connue pour être farouchement antirépublicaine et soutenant les intérêts matériels de l'Église.
Les banquiers Worms représentent actuellement les intérêts des Rothschild. L'église a toujours protégé la famillte Rothschild.
La Banque Hippolyte Worms est une émanation du groupe bancaire familial Rothschild pour lequel elle exécute certaines opérations. A noter, en outre, que la Banque Rothschild gère environ cent milliards pour le compte du Vatican.
Monsieur Gabriel Le Roy Ladurie en est le directeur politique. Il semble bien être par ailleurs le chef du Mouvement synarchique, comme tel, c'est le personnage le plus important de France à l'heure actuelle.
Dès la liquidation de la Banque Rothschild, Gabriel Le Roy Ladurie qui avait déjà exercé une grosse influence sur la politique française en subventionnant différents partis tels que le PSF du colonel De La Roque et que le PPF de Jacques Doriot, sentit ses ambitions croître démesurément.
Assez récemment, est apparu un nouveau groupe (Synargie) qui est généralement représenté aux industriels comme étant indépendant de la Synarchie. Il n'en est rien.
La combinaison Worms est en rapport étroit avec le synarchisme. On retrouve dans les deux combinaisons les mêmes chefs de file. Tous les grands représentants du synarchisme en France appartiennent, de près ou de loin, à la Banque Worms. La Banque Worms, banque juive, dont le directeur est Hippolyte Worms, a son siège 45, bd Haussmann, à Paris.

Yves Bouthiller, né en 1901, inspecteur des Finances, chef de Cabinet de François Pietri, Germain Martin et Georges Bonnet, directeur du budget en 1935, membre du Brains Trust, c'est-à-dire des conseillers de Pierre Laval. En 1935, il prépare les fameux décrets-lois du chef du gouvernement, ministre des Finances du gouvernement Reynaud, Mandel...
Il présenta M. Dumoulin de la Barthète au maréchal Pétain, quand celui-ci fut nommé ambassadeur à Madrid. Depuis, M. Dumoulin de la Barthète est devenu un intime du Maréchal et a protégé en retour nombre de gens de l'entourage de Bouthillier. C'est aussi ce dernier qui, en principe, choisissait les membres de la "Synarchie".

M. Édouard Chaux, président du Comité d'économie générale du Rassemblement national populaire (RNP), président fondateur du Cercle européen, était directeur, en 1936, du "Comité du plan" sur lequel il publia un livre que préfaça Marcel Déat.
Un ami d' Édouard Chaux, Paul Rives, rédacteur en chef de l'"Effort" faisait partie de la loge maçonnique de l'ingénieur Navachine, disparu mystérieusement et conseiller intime de M. Spinasse, lorsque celui-ci était ministre de l' Économie nationale sous Léon BluM. M. Paul Rives, également directeur politique du nouveau journal "Germinal", est l'homme qui renseigne M. Déat sur la politique intérieure de Vichy. Les fonds de l'"Effort" semblent avoir été fourni par le ministère de l'Intérieur.
D'autre part, il fut étonnant de constater l'accord politique conclu entre les personnalités aussi différentes que M. Deloncle (ancien polytechnicien) et M. Déat, dont la réputation de politicien trop souple est fâcheuse.
Ajoutons qu'Édouard Chaux, ancien élève de l'École des hautes études commerciales et de l'École libre des sciences politiques, licencié en droit, était directeur des services techniques du ministère de l'Économie nationale, lorsque Raymond Patenotre et Georges Bonnet furent les titulaires de ce portefeuille. Il fut, il y a quelques années, mêlé d'une façon plus ou moins intime à la déconfiture de l'Hôtel d'Albe.

M. Guillaume, directeur du CEPH, 9, rue Lincoln, semble être l'agent secret de liaison des groupes synarchiques internationaux. Il se déplacerait jusqu'à New York, en Suisse et au Cap. Il semble bien que la section française de ce groupement ait pour chef : Hippolyte Worms.

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Recrutement des membres
Comme nous l'avons vu plus haut, les éléments dirigeants du MSE viennent de certains milieux bancaires et de certains éléments du haut patronat. Une majorité d'anciens élèves de Polytechnique, quelques éléments de Centrale, quelques éléments de Normale supérieure, de nombreux inspecteurs des Finances, de nombreux éléments du Conseil d'État et quelques médecins, ayant fait leurs preuves et ayant prêté serment d'obéir à des directives déterminées qui doivent diriger leur action publique.
Le MSE a recruté ses hommes ou les a introduits :

- en 36 : au ministère de l'Économie nationale,
- en 37 : au ministère des Finances,
- en 38 : aux Travaux publics,
- en 39 : pendant la guerre : à l'Armement chez Dautry, - avant l'armistice : chez Laurent-Eynac, Reynaud et Meny,
- depuis Juillet 40 : au cabinet civil du Maréchal, aux Finances, à l'Économie nationale, à la Production industrielle, Communications, Travail, PTT, Commerce, Équipements industriels, Relations franco-allemandes. De plus, leviers de commandes dans les autres départements, par le truchement d'un inspecteur des Finances.

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Principaux affiliés depuis 1935

Jean Bichelonne : X 1923 - Ingénieur des Mines - Administrateur des Chemins de fer départementaux, ministre, secrétaire d'État à la Production industrielle.
Jacques Gérard : du Groupe des assurances , secrétaire général auprès du chef du gouvernement.
Bruneton : Ingénieur des Arts et Manufactures, ingénieur conseil en propriétés industrielles - Commissaire général au travail en Allemagne.
Briat : Contrôleur d'armées, délégué général du commissaire général au Travail obligatoire.
Robert Gibrat : X 1922 - Directeur de cabinet de de Monzie. Ancien secrétaire d'État aux Communications.
Le juif Jean Ullmo : X 1924 - Répétiteur à l'École polytechnique.
Pierre Chasserat : Maître des requêtes au Conseil d'État. Directeur général de la gendarmerie.
Jacques Barnaud : Depuis février 1941, délégué général aux Relations franco-allemandes.
Jean Berthelot : X 1919 - ancien chef de Cabinet de de Monzie et ancien ministre secrétaire d'État aux Communications.
Yves Brehant de Boisanger - Directeur de la Banque de France.
Jacques Branger : Directeur adjoint de la Caisse des marchés.
Henri Coquenot : Directeur de la sidérurgie à la Production industrielle.
Contrôleur général Pharamond : Directeur du service des administrateurs provisoires au Commissariat des affaires juives.
Henri Laffont : Secrétaire général de l'Energie (Production industrielle).
Azema, dit Assemat : Directeur de la Caisse nationale des marchés (41).
Paul Baudouin : Ministre des Affaires étrangères, jusqu'en février 1941 (depuis 1940).
Benoist-Méchin : Ancien ministre de l'Intérieur. Fondateur de la Légion tricolore. Nouvelle forme qu'il voulait donner à la Légion des volontaires français contre le bolchevisme.
Vieil-Picard
Borotra : Ancien ministre des Sports.
Bouthillier Yves
Brunet : Directeur du Trésor en 1941.
Édouard Chaux :du RNP.
Général Colson : Ministre de la Guerre en 1940.
Général Delatre de Tassigny
Eugène Deloncle
Pierre Pucheu
André Fanton d’Andon : Directeur des mines au ministère de la Production industrielle.
Filippi : Représentant le ministre des Finances en zone occupée.
Pierre Bouffiagues : Directeur du cabinet du ministre des Finances, Cathala.
Henri Focillon : Professeur à l’université de Paris, en mission aux États-Unis.
De Font-Réault : Premier chef du cabinet civil du Maréchal.
Cardanez : Commissaire du gouvernement au comité de la Marine marchande.
Gillouin : Ancien ministre.
Général Georges
Georges Guillaume : Sujet Suisse, agent de liaison international.
Francis Hekking : Ancien attaché au ministère de l’Armement. Actuellement en mission aux États-Unis.
Hymans
Georges Lamirand : Ancien ministre de la Jeunesse. Ancien directeur commercial des Messageries Hachette.
Yves Le Correc : Membre du conseil d'administration de Pechelbronn.
Gabriel Le Roy Ladurie :
De Largentaye : Polytechnicien d'influence considérable en Espagne et au Portugal.
Georges Libersart: Chef adjoint, cabinet de Bouthillier.
Martiny
Paul Meny: Secrétaire d'État à l'Air en avril 1940.
Million : Secrétaire général de la main-d'oeuvre.
Du Moulin de la Barthète
Francis Netter: X 1926 - actuellement contrôleur au ministère de la Production industrielle - descendant de Charles Netter, fondateur en 1860 de l'Alliance israélite universelle.
Luc : Directeur de l'Enseignement technique.
Maurice Olivier : Président du Comité d'organisation de la fonderie.
Pelorson : Ancien secrétaire de la propagande au ministère de la Jeunesse.
De Peyerimoff : Président du Comité des houillères.
Pietri : Ambassadeur.
Pinault : Directeur des carburants (Production industrielle).
Paul Planus : Ancien attaché au ministère de l'Armement.
Charles Rebuffel : Président conseil d'administration aux Grands Travaux de Marseille (père d'Hélène de Portes).
Roujon : Directeur à l'administration générale du Travail.
Jacques Rueff : (Juif). Ancien attaché financier à Londres. Chef du Mouvement des fonds sous Reynaud.
Alfred Sauvy : Membre du cabinet Bouthillier, sous-directeur de la statistique de France, frère de Titayna et demi-juif comme sa sœur.
Paul Louis Weiler : (Juif).
Jacques Branger : X 1927 - Directeur de la Caisse des marchés de l'État.
Marcel Marcero : Administrateur de sociétés coloniales dont les capitaux sont fournis par des Anglais. Ex-officier d'ordonnance du juif Mandel.
Le Maignen : Administrateur de Sociétés coloniales - gendre du baron de Nervo.
Baron de Nervo : Le baron de Nervo serait d'ascendance juive. Il fut au début de ce siècle l'un des créateurs du Comité des forges.
Fosserier : Administrateur de sociétés coloniales. Maire de Deauville.
Hippolyte Worms: Banquier.
Yvan Martin : Maître des requêtes au Conseil d'État. Était directeur du cabinet d'Hubert Lagardelle.
Pouillot : Directeur de l'organisation sociale au ministère du Travail.
Mourre : Directeur de l'Économie générale.
Schwartz : Conseiller d'État. Inspecteur général des Ponts et Chaussées, secrétaire général des Tramways Transports.
Louis Formery : Inspecteur des Finances, commissaire du pouvoir.



 

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