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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

L'heure d’été la grande oubliée de la rafle du Veld'hiv

L'heure d’été la grande oubliée de la rafle du Veld'hiv
L'heure d’été la grande oubliée de la rafle du Veld'hiv
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Rafle du Vélodrome d'hiver la vérité administrative de l’État français 


Jean Berthelot

Biographie
Jean Berthelot, né à Boult-sur-Suippe (Marne) en 18971 et mort à Sucy-en-Brie (Seine-et-Marne) en 19851, est un ingénieur français qui fut secrétaire d'État aux Transports et aux Communications sous le régime de Vichy.
 Après l'armistice de juin 1940, il siège à la Commission d'armistice de Wiesbaden 3 et le 7 septembre 1940, il est nommé Secrétaire d'État aux Transports et aux Communications dans le gouvernement de Vichy . En tant que secrétaire d'État aux Transports, il inspecte en Algérie les travaux de la voie ferrée Méditerranée-Niger . Il est renvoyé le même mois. Il est rappelé après le départ de Pierre Laval du gouvernement quelques semaines plus tard, en décembre 1940, au même poste, qu'il occupera sous les gouvernements Flandin et Darlan. Lors du retour de Laval, en avril 1942, il est remplacé par Robert Gibrat (un X-Mines comme lui) et réintègre la SNCF comme adjoint au directeur général Robert Le Besnerais. Après la Libération, en juillet 1946, la Haute Cour de justice le condamne à deux ans de détention et à l'indignité nationale. Sa femme, Jeanne, demande le divorce. Il épouse Odette Espy et vit entre ses propriétés de Sucy-en-Brie (Seine-et-Oise puis Val-de-Marne) et Villeneuve-les-Avignon (Gard). Il meurt le 13 décembre 1985 et est enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris. La premiere mesure sera l'instauration de l'heure d’été dans la zone libre en Mars 1942 afin de coordonné et harmoniser les transmissions et transports dans la France de Vichy 

La STCRP est absorbée le 1er janvier 1942 par la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris, qui exploitera l'ensemble du réseau de métro et de bus de Paris et de sa banlieue jusqu'à la création de la Régie autonome des transports parisiens, après la Libération. 
En juillet 1942 nous sommes a l'heure d’été d'aujourd'hui symbole de la France collaborationniste des ces deux présidents Pompidou et Giscard 
Mitterrand fera tout pour garder ce symbole de Vichy et du Marechal Petain malgré le rapport de Ségolène Royal qui sera défavorable a Vichy 
Les températures de juillet sont en dessous des normales saisonnières. En cette soirée du 15 juillet 1942, il ne fait pas plus de 16 °C à Paris. Les commissaires de police qui sortent de la préfecture de l'île de la Cité frissonnent. Certains de froid. D'autres d'effroi. Leur chef, le préfet Amédée Bussière, vient en effet de leur présenter le plan de l'opération « Vent printanier » à laquelle 6 000 fonctionnaires français doivent prendre part le lendemain matin.
Cela fait trois semaines que les policiers sentaient que quelque chose se tramait dans les hautes sphères. Il planait une ambiance lourde dans les couloirs de la préfecture. Les réunions de cabinet auxquelles étaient conviés les directeurs d'administration centrale s'éternisaient. Les permissions avaient été annulées, les élèves de l'École de police convoqués. Chacun sait désormais de quoi il retourne. Une vague d'arrestations sans précédent se prépare. Une campagne de propagande pour préparer l'opinion
Au Commissariat aux questions juives (dans le quartier de la Bourse, à Paris), Louis Darquier de Pellepoix est, lui aussi, sur le pont. À son initiative, une campagne de presse a été lancée quelques jours plus tôt pour « préparer l'opinion ». On a ressorti sur les écrans parisiens un film de propagande nazi, Le Péril juif, et les journaux antisémites Le Cri du peuple et Au Pilori ont haussé le ton. Dans son édition du 3 juillet, Le Cri du peuple publie notamment : « Pour se convaincre du péril juif, il suffit de se promener un quart d'heure le dimanche entre la Madeleine et la place de feu la République. La proportion des décorés de l'étoile jaune y dépasse tout ce que l'on pouvait imaginer et le plus cornichon des gaullistes finit par se dire : Décidément, ils sont trop ! » Le 13 juillet, des affiches ont été placardées sur les colonnes Morris : il s'agit d'une ordonnance du général Carl Oberg qui précise quelles seront les représailles dont useront les autorités allemandes envers les familles de ceux qui s'aviseraient de protester face aux mesures prises par le gouvernement de Vichy ou par l'occupant :
1. Tous les proches parents masculins en ligne ascendante ainsi que les beaux-frères et les cousins à partir de dix-huit ans seront fusillés.
2. Toutes les femmes au même degré de parenté seront condamnées aux travaux forcés.
3. Tous les enfants, jusqu'à dix-sept ans révolus, des hommes et des femmes frappés par ces mesures, seront remis à une maison d'éducation surveillée.
Dans ces conditions, espèrent les autorités, toute velléité de résistance devrait être étouffée dans l'œuf. De fait, il n'y aura aucune manifestation populaire pour s'opposer aux arrestations des Juifs.
Les camps
Au camp de Drancy, le 14 juillet, le capitaine Vieux, officier de gendarmerie, sous l'autorité duquel est placé ce « pénitencier militaire », a convoqué les responsables des 22 unités (correspondant aux escaliers de cette barre d'immeuble pas encore achevée où sont détenus celles et ceux qui s'apprêtent à partir pour Auschwitz). Il leur a annoncé l'arrivée prochaine de nombreux prisonniers. La cité de la Muette, transformée en « camp de transit » en août 1941, va voir affluer les couples sans enfants et les célibataires. Les mineurs seront envoyés à Pithiviers et Beaune-la-Rolande (Loiret). De la place a été faite dans ces « camps français » dans la perspective d'un afflux de nouveaux détenus. Un convoi a quitté Pithiviers pour Auschwitz le 22 juin ; un autre est parti Beaune-la-Rolande le 25. Un troisième train emporte ses passagers vers la mort le 28 juin. Chaque convoi compte aux alentours de mille déportés. Et pas question de faire partir un train avec moins de « passagers ». On a organisé, les jours précédents, des rafles à Orléans pour « arrondir » les effectifs.
Derniers préparatifs
Le couvre-feu est entré en vigueur à 23 heures, mais à minuit, dans les entrepôts de la Compagnie des transports en commun de la région parisienne (CTCRP, ancêtre de la RATP), on vérifie encore que la cinquantaine de bus réquisitionnés pour transporter les « suspects » sont en bon état de marche. Six cars viennent se ranger en réserve dans la cour de la préfecture de police. Dans le nord de Paris, Mme Rimmler, informée qu'une rafle se prépare (par une feuille d'information ronéotypée en yiddish qui a circulé dans l'après-midi au sein de la communauté), quitte son domicile du 51, rue Piat (20e) pour trouver refuge dans un garage voisin. Dix personnes s'entassent avec elle dans un petit réduit de 3 mètres sur 2, au milieu de pièces métalliques et de pneus. Impossible de s'allonger. C'est assis que les adultes vont passer la nuit. Non loin de là, M. Pitkowicz, dont l'oncle Charles a été déporté, passe la nuit dans sa cave. Comme la rumeur prétend que seuls les hommes adultes seront arrêtés, sa femme reste dans l'appartement avec son fils et sa fille. Ce document a été rédigé dans le cadre de la préparation de la grande rafle des 16 et 17 juillet 1942, au cours de laquelle plus de 13 000 juifs sont arrêtés par la police parisienne. Dans toute sa froideur, il montre « de l'intérieur » la mécanique de la déportation. Plus de 1 200 équipes d'arrestation ont été formées. Elles ont principalement été affectées aux arrondissements « à forte implantation juive ». À commencer par le Marais (le 3e arrondissement est doté de 156 équipes, le 4e de 139) et l'Est parisien (le 10e a 152 équipes, le 11e : 246, le 12e : 131), mais aussi les quartiers populaires du nord de la capitale (18e : 121 équipes, le 20e : 255). L'objectif qui leur a été exposé est de « rafler » à Paris, mais aussi en Seine-et-Oise, près de 22 000 Juifs, de les amener au Vélodrome d'Hiver où ils seront « triés » puis déportés. Rien n'a été dit de la destination finale des populations arrêtées, mais des rumeurs circulent. On parle de « camps de travail », de « centres de rétention ». On évoque aussi, à demi-mot, que personne n'en reviendra. Le chef SS Theodor Dannecker, qui représente Adolf Eichmann en France – haut fonctionnaire nazi en charge de la mise en oeuvre de la « Solution finale » –, a reçu un télégramme lui indiquant que l'opération sera dédiée à la mémoire du général Reinhard Heydrich, abattu le mois précédent à Prague. 
« Vous constituerez des équipes d’arrestation. Chaque équipe sera composée d’un gardien en tenue et d’un gardien en civil ou d’un inspecteur des renseignements généraux ou de la police judiciaire. « Les équipes chargées des arrestations devront procéder avec le plus de rapidité possible, sans paroles inutiles et sans commentaires. En outre, au moment de l’arrestation, le bien - fondé ou le mal - fondé de celle-ci n’a pas à être discuté. C’est vous qui serez responsables des arrestations et examinerez les cas litigieux, qui doivent nous être signalés. Si vous ne pouvez trancher la question, les intéressés suivront momentanément le sort des autres.
« Lorsque vous aurez un contingent suffisant pour remplir un autobus, vous dirigerez :
- sur le camp de Drancy les individus ou familles n’ayant pas d’enfants de moins de 16 ans, - au Vélodrome d’hiver les autres.
« Horaires des équipes spéciales. 
Les inspecteurs et gardiens constituant les équipes spéciales d’arrestation prendront leur service au central de l’arrondissement désigné, le 16 courant, à 4 heures du matin. Ils effectueront leur service :
- Le 16, de 4 heures à 9 h 30 et de 12 heures à 15 h 30 heure d’été 
- Le 17, de 4 heures à 13 heures. »heure d’été 
Plus de deux mois de préparation
Tout commence le 6 mai 1942, lorsque René Bousquet, nommé quelques jours plus tôt secrétaire général de la police (un intitulé qui correspond au poste d'adjoint au ministre de l'Intérieur, par ailleurs chef de gouvernement : Pierre Laval), rencontre Reinhard Heydrich, le chef du RSHA, l'Office central de sécurité du Reich (qui sera abattu quelques jours plus tard à Prague). Bousquet, jeune et ambitieux préfet de 33 ans, apprend à cette occasion que les Allemands projettent de déporter plus de 100 000 Juifs vivant en France, en Belgique et aux Pays-Bas au cours de la seule année 1942. Découlant de la mise en application des décisions prises sur la « Solution finale » voulue par Hitler lors de la conférence de Wannsee du 20 janvier 1942, cette opération, baptisée « Vent printanier », marque le début de la mise en place d'une politique industrielle d'extermination des Juifs. Le concours de l'administration française Le gouvernement français accepte de prêter main-forte à ce projet criminel. Les Allemands n'entendaient, au départ, déporter que les Juifs de 16 à 55 ans. Pourtant, Pierre Laval propose d'abaisser cette limite d'âge à 2 ans et d'autoriser la déportation des hommes jusqu'à 60 ans. Le 26 juin 1942, lors du conseil des ministres qui se tient à Vichy, le chef du gouvernement annonce que Jean Leguay, adjoint de René Bousquet pour la zone occupée, a été convoqué, la veille, par Theodor Dannecker, conseiller SS aux Affaires juives. Ce dernier, chargé de mettre en œuvre la « Solution finale » à l'échelon français, réclame la livraison de 10 000 Juifs de zone sud et l'arrestation de 40 % de Français (parmi les 22 000 qui doivent être arrêtés dans les seuls départements de la Seine et de la Seine-et-Oise). Pierre Laval et René Bousquet valident cette demande. Quatre jours plus tard, Adolf Eichmann, de passage à Paris, donne à Dannecker des instructions précises « en vue de libérer totalement et le plus vite possible la France des Juifs ». Ces informations sont répercutées au chef de l'État Philippe Pétain. La police française est susceptible de rendre les plus grands services.  Le 2 juillet 1942, René Bousquet accepte officiellement de mettre les fonctionnaires de son ministère au service de l'occupant. En échange, il obtient la promesse de diriger un « corps de police unifié », indique Jean-Marc Berlière, historien spécialiste de la police. Le 18 juin précédent, il avait indiqué au général Carl Oberg, commandant supérieur de la SS et de la police allemande en France : « Vous connaissez la police française. Elle a sans doute ses défauts, mais aussi ses qualités. Je suis persuadé que, réorganisée sur des bases nouvelles et énergiquement dirigée, elle est susceptible de rendre les plus grands services. Déjà, dans de nombreuses affaires, vous avez pu constater l'efficacité de son action. Je suis certain qu'elle peut faire davantage encore. » Le 3 juillet, au cours d'un nouveau conseil des ministres, Pierre Laval évoque à nouveau à demi-mot l'opération en demandant que le recensement des Juifs français, effectué en octobre 1940, soit mis à jour. Le 4 juillet, un « groupe de travail » présidé par le commissaire général aux Questions juives, Louis Darquier de Pellepoix, est mis en place. Il réunit les responsables des services administratifs qui devront préparer les rafles des 16 et 17 juillet. Une campagne de propagande est envisagée pour justifier auprès de l'opinion publique une opération qui risque de « choquer ». Quand des volontaires prêtent main-forte
Le 7 juillet, c'est dans les bureaux de la police SS, situés au 31bis, avenue Foch, que se tient une réunion cruciale d'« organisation ». Y assistent l'adjoint de Dannecker (Ernst Heinrichsohn), mais aussi des Français : Darquier de Pellepoix et Pierre Gallien (CGQJ), Jacques Schweblin, directeur de la Police des questions juives, Jean François, directeur de la police générale à la préfecture, André Tulard, directeur du service des Étrangers et des Affaires juives de la préfecture de police (qui a travaillé à la mise en place d'un fichier juif qui sera fréquemment utilisé pour traquer les familles). Émile Hennequin, directeur de la police municipale, est accompagné du commissaire Georges Guidot. Il est indiqué que des volontaires du Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot assisteront les Allemands chargés d'interpeller les Juifs français. Parmi eux figurera Victor Barthélemy, numéro deux du PPF et qui, trente ans plus tard, participera à la fondation du Front national. Il est convenu que le coup de filet sera lancé à l'aube. Les Juifs doivent être arrêtés, dès 5 heures du matin, à leur domicile, puis être « triés » dans des centres de rassemblement. Leur sort final est-il évoqué à cette occasion ? Leur déportation semble évidente : ils ne sont autorisés à n'emporter qu'une seule valise. Le compte à rebours est lancé
Le 10 juillet, une dernière réunion préparatoire se déroule au siège du Commissariat général aux Questions juives (1, place des Petits-Pères). Est présent Theodor Dannecker, mais aussi Heinz Röthke qui va lui succéder. On compte également Heinrichsohn, Leguay, Gallien, ainsi que des représentants de la SNCF, de la police municipale et de l'Assistance publique puisque la rafle implique des risques sanitaires. L'un des participants à cette réunion suggère que des seaux « hygiéniques » soient installés dans les trains pour permettre aux déportés de se soulager pendant leur voyage vers l'Est. Le matin du 15 juillet, le préfet de police Amédée Bussière convoque les commissaires parisiens pour leur rappeler que la police municipale a renforcé les services de l'Est parisien, « à forte implantation juive ». Et qu'une cinquantaine d'autobus de la Compagnie des transports en commun de la région parisienne (CTCRP, ancêtre de la RATP) sont mis à leur disposition pour le transfert des personnes arrêtées. Dix autocars aux vitres grillagées ont été réquisitionnés pour les « récalcitrants ». Bussière leur transmet les dernières consignes. Elles sont strictes : ne pas discuter les ordres, fermer les compteurs d'eau et de gaz des appartements visités, confier les animaux et les clés à la concierge ou au voisin, emmener les enfants, même de nationalité française. Le sort des enfants Des assistantes sociales sont convoquées le même jour. On leur explique qu'elles devront prendre en charge, pendant quelques jours, quelque 400 enfants. Ils seront en réalité plus de 4 000…, dont 800 de moins de six ans. Le 17 juillet, décision est prise de les acheminer, seuls, vers les camps d'internement de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande, d'où ils seront transférés vers les camp d'extermination de Pologne, début août.

 

L'heure d’été la grande oubliée de la rafle du Veld'hiv
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