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  le blog labrousse.erick par : ERICK

Droit et Devoir de Mémoire deuxième guerre mondiale 1940 1945 LUTTER CONTRE LA RÉHABILITATION DE VICHY OU DE SON ADMINISTRATION DE L ÉTAT FRANÇAIS

La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945

elle sera pressente pour la commémoration du 75 anniversaire mais pas la russie

La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945
La royauté Anglaise et le nazisme sous l Heure d’été des vaincus de 1945

En 2005, le prince Harry se dévoilait à la face du monde déguisé en nazi. Un scandale qui a fait le tour du monde et dont le fils cadet du roi Charles III a pris la responsabilité. Seulement, dans son autobiographie, Le Suppléant, qui sort dimanche, il dévoile qu’il n’a pas choisi tout seul cet accoutrement outrancier. Le duc de Sussex affirme avoir demandé l’avis de son frère, le prince William, et de sa belle-sœur Catherine, princesse de Galles, avant de confirmer la location de la tenue. Le prince Harry avait en effet retenu deux options pour cette soirée sur le thème d’un goût douteux, « Autochtone et colonial », comme le relaye la BBC. « J’ai appelé Will et Kate et je leur ai demandé ce qu’ils en pensaient. Ils ont dit le costume de nazi », raconte l’époux de Meghan Markle.Grosse erreur

« Je l’ai loué, avec une moustache ridicule, et je suis rentré à la maison. Willy et Kate riaient. C’était même pire que le justaucorps de Willy. Bien plus ridicule », ajoute le prince Harry. Depuis, le duc de Sussex a confié, dans le documentaire Harry & Meghan sur Netflix, que ce déguisement a été la « plus grosse erreur » de sa vie.

Ni Buckingham Palace ni le prince William n’ont pour l’instant commenté les affirmations du prince Harry.

Pourquoi les russes n’ont pas ete invite au 75 ans des commémorations du débarquement en Normandie 


La cause serait ukrainienne d'après le Premier Ministre Edouard Philippe dont l’esprit et les pensées sont des idées de la collaboration de 1940 sous l'heure d’ete de pétain 1940 
L 'Elysée explique ne pas avoir convié Vladimir Poutine aux hommages du 75e anniversaire du débarquement en Normandie car la cérémonie internationale était menée par le Premier ministre. Le président russe n'est invité que pour les anniversaires en dizaines, présidés par le chef de l'Etat

l'esprit de la collaboration revient au lendemain des commémorations de la libération Les russes n'ont pas été invités mais les néo nazis du vril étaient bien présent sous l heure d’été des vaincus de 1945 pour les 75 ans de la libération de l'Europe ...Une nouvelle fois l histoire est falsifiée par l'esprit de la collaboration et du nazisme en Europe...L Ukraine etait neo nazie pendant la Deuxième guerre mondiale Une première tentative de séparation de l’Ukraine de l’Union soviétique a été faite par des nationalistes ukrainiens sous la direction de Stepan Bandera et Roman Choukhevytch à l’été 1941, après l’invasion de l’Allemagne nationale-socialiste en Union soviétique. Les nationalistes ukrainiens ont soutenu pendant toute la guerre l’Allemagne nationale-socialiste, se sont mis à disposition comme gardes dans des camps de concentration et ont participé à la lutte brutale contre les partisans en Ukraine et en Biélorussie. Depuis lors, les nationalistes ukrainiens ont toujours peiné à se distancier du national socialisme.
Un an auparavant, pourtant, Poutine était donc présent en France au 70e anniversaire du Débarquement. Sa présence avait été l’occasion d’une rencontre inédite, surnommée «Format Normandie» en langage diplomatique, entre Vladimir Poutine, François Hollande, Angela Merkel et Petro Porochenko pour tenter de trouver une solution au conflit ukrainien. «Ce fut un grand succès pour la diplomatie française», souligne Jean de Gliniasty. Cinq ans plus tard, les équilibres géopolitiques ont bien changé avec le premier ministre a l'esprit de la LVF du PPF sous l'heure d'été des vaincus...

En 1940, Édouard VIII voulait que l’Angleterre soit Le prince Philip (époux de la reine d’Angleterre Elisabeth II), ancien membre du parti nazibombardée
Le déguisement du prince Harry en officier nazi lors d’un bal costumé a rappelé :
Le prince Philip (époux de la reine d’Angleterre Elisabeth II), ancien membre du parti nazi
Le déguisement du prince Harry en officier nazi lors d’un bal costumé a rappelé :
http://www.ina.fr/video/2748828001009
 le salut nazi de sa grand-mère, la reine Elisabeth 2,

 l’engagement nazi de son père Philip (lire ci-dessous)
 ainsi que les sympathies fascistes de la famille royale anglaise dans les années 1920 et 1930.
20 janvier 1936 Edouard VIII, roi fasciste, monte sur le trône du Royaume-Uni
1) Philip parmi les acteurs princiers de la constellation fasciste
Le prince Philip, actuel mari de la reine Elisabeth II, vient de rompre un silence qui aura duré 60 ans, sur les liens de sa famille avec le régime nazi. Suite à la publication du livre de Jonathan Petropoulos Royals and the Reich, il a donné quelques informations pour justifier son "enthousiasme" en faveur d’Hitler et des nazis dans les années 1930.
Dans une interview donnée à un professeur américain, le prince Philip explique l’attraction qu’il avait pour le régime nazi et pour Adolf Hitler. Même s’il ne s’est jamais considéré comme antisémite il reconnaît qu’il avait de « fortes inhibitions à propos des juifs » et une « jalousie pour leur réussite ». Il reconnaît également une fascination pour Hitler qui avait réussit à faire « arriver les trains à l’heure » après le chaos de la république de Weimar. « Je peux comprendre que les gens soient pris par quelque chose ou quelqu’un qui semble faire appel à leur patriotisme et qui essaye de faire marcher les choses. Vous pouvez comprendre à quel point c’était attirant. » Il ajoute qu’il y avait « beaucoup d’enthousiasme pour les nazis à l’époque : l’économie marchait bien, nous étions anticommunistes et l’on ne pouvait pas savoir ce que ce régime allait donner ».
Sur l’une des photographies prise en 1937 à l’occasion de l’enterrement de sa soeur aînée, disponible sur le site Internet du Daily mail, on trouve le Prince Philip alors âgé de 16 ans entouré de proches parents en uniforme SS ou en chemises brunes. Un rang derrière, on trouve Lord Mountbatten. Philip est né en 1921 à Corfou, prince du Danemark et de Grèce ; c’était le seul fils et le plus jeune des cinq enfants du prince Andrew de Grèce et de la princesse Alice de Battenberg. Ses quatre soeurs ont toutes épousé des princes allemands et trois d’entre elles - Sophie, Cécile et Maragarita - sont devenues membres du parti nazi. Le mari de Sophie, le prince Christoph de Hesse, a été le chef du bureau de renseignement de Goering.
Dans une photo prise lors du mariage de ce dernier, on trouve d’ailleurs la plus jeune soeur du prince Philip assise en face d’Hitler. Cette « attraction » pour le régime nazi était certes très répandue dans les cercles aristocratiques britanniques. A commencer par le président de la Banque d’Angleterre, Montagu Norman, qui donnait quotidiennement ses instructions au ministre des Finances de Hitler, Haljmar Schacht, jusqu’à la déclaration de guerre ! Ces cercles aristocratiques considéraient qu’il y avait un intérêt géopolitique à voir Hitler et Staline s’affronter dans une guerre totale qui allait détruire l’Europe continentale, perçue depuis toujours comme une menace à leurs intérêts financiers impériaux. Ces faits étaient surtout connus jusqu’ici dans le monde du renseignement. Auparavant, la presse britannique avait souvent glosé sur le caractère raciste du prince Philip mais ne s’était jamais attaquée à son passé… Des informations font la lumière sur les relations entre l’aristocratie européenne et les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. On apprend ainsi que le duc de Windsor (et monarque britannique pendant moins d’un an) voulait voir l’Angleterre bombardée.
près le récit il y a quelques années des frasques du prince Harry, le tabloïd britannique "The Sun", a de nouveau jeté le trouble en Grande-Bretagne. Sur ses unes papier et numérique du samedi 18 juillet dernier ce sont des images inédites montrant la reine Elisabeth, sa sœur Margaret, et leur mère en train d'effectuer le salut nazi, sous les encouragements de leur oncle Edward VIII, alors futur roi, qui s'étalent. Edward VIII qui imitera le geste quelques instants plus tard. Le retentissement est immédiat, à Buckingham bien sûr, mais également parmi une large partie de la population toujours très attachée à cet emblème qu'est la famille royale.

Ce soutien à l'Allemagne semble tout d'abord dû à un anti-communisme farouche qui parcourt les membres de l'aristocratie à cette époque. Leur crainte de voir se déverser le bolchevisme en Europe et au Royaume-Uni supplante celle d'Hitler, qu'ils voient comme un rempart sur le continent face à l'influence stalinienne. Edward VIII n'est donc pas le seul à chanter les louanges de l'Allemagne fasciste et à souhaiter un partenariat avec elle. Selon l'historienne Karina Urbach, dont The Guardian publie une tribune, beaucoup pensaient, comme Edward, que "c'était la seule chose à faire 
En décembre 1936, onze mois seulement après son accession au trône, Édouard VIII perd son titre de roi. Officiellement parce qu’il souhaitait épouser l’Américaine Wallis Simpson, un mariage auquel le gouvernement s’était opposé, la mondaine en étant déjà à son deuxième divorce. Officieusement, car le duc de Windsor était sympathisant du régime nazi. Selon les analyses récentes de ses correspondances par Karina Urbach, chercheuse à l’Institut de recherche historique, il aurait même souhaité le bombardement de l’Angleterre.
L’information provient d’une conversation datée du 25 juin 1940 entre Édouard VIII et Javier Bermejillo, un diplomate espagnol, et se résume en une phrase:
«Un bombardement efficace de l’Angleterre pourrait ramener la paix.»
Un souhait que Javier Bermejillo va prendre pour argent comptant et qui va ensuite, selon les dires de la chercheuse, être transmis à Francisco Franco, dictateur espagnol, qui le transmettra lui-même aux Allemands. Quinze jours plus tard, les bombardements de la Grande-Bretagne débutaient.
Discussions avec Hitler
D’autres conversations, documentées dans le dernier livre de Karina Urbach, Go-Betweens for Hitler, démontrent également les liens entre Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha, un autre membre de la famille royale, et Adolf Hitler, qui recourait à ses services lors de certaines négociations secrètes.Les recherches de Karina Urbach révèlent en outre que les Soviétiques étaient au courant des positions d’Édouard VIII vis-à-vis du régime nazi dès 1940 et que lui et Hitler avaient discuté de la formation d’un nouveau gouvernement en Angleterre afin de faire alliance avec l’Allemagne contre l’URSS. Un livre intitulé Seventeen Carnations - The Windsors, The Nazis and the Cover-Up avait déjà participé aux révélations sur le duc de Windsor, décédé en 1972, dévoilant par exemple l’existence d’un télégramme envoyé par Édouard VIII à Hitler en 1936 lui souhaitant «bonheur et bien-être».
Le duc et la duchesse s'installèrent en France, louant de 1938 à 1949 le château de la Croë. Au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale en septembre 1939, ils sont rappelés en Grande-Bretagne par Louis Mountbatten à bord du HMS Kelly, et le duc, bien que maréchal honoraire, est fait major-général rattaché au corps britannique en France36. En février 1940, l'ambassadeur allemand à La Haye, le comte Julius von Zech-Burkersroda avance que le duc avait livré les plans de défense alliés pour la défense de la Belgique. Lorsque l'Allemagne envahit le nord de la France en mai 1940, les Windsor fuient vers le sud, au départ pour Biarritz puis en juin pour l'Espagne. En juillet, le couple déménage à Lisbonne au Portugal où ils résident initialement dans la résidence de Ricardo de Espírito Santo, un banquier portugais ayant des contacts anglais et allemands  De nombreux historiens ont suggéré qu'Hitler se préparait à placer Edward sur le trône britannique dans l'espoir d'établir une Grande-Bretagne fasciste83. Durant l'occupation de la France, le duc demanda aux forces allemandes de placer des gardes devant ses résidences de Paris et de la Riviera, ce qu'elles firent Il est largement admis que le duc et la duchesse sympathisaient avec les idées fascistes avant et pendant la Seconde Guerre mondiale et qu'ils furent envoyés aux Bahamas pour minimiser leurs possibilités d'action. En 1940, le duc déclara : « Dans les dix dernières années, l'Allemagne a totalement réorganisé l'ordre de sa société… Les pays qui n'étaient pas disposés à accepter une telle réorganisation de la société et de ses sacrifices concomitants devraient orienter leurs politiques en conséquence ». Thomas Inskip écrivit à Winston Churchill juste avant que le couple ne soit envoyé aux Bahamas : « Les sympathies nazies du duc sont bien connues et il pourrait devenir le centre des intrigues
 
 
 

 

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